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毛 飞利
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chinois



 
               
PRESSE
Sommaire
Personnalité : Sarkozy, le "petit Napoléon"
Sarkozy obtient plus de 53 % et est élu nouveau président  français
Chirac, le président français passionné de culture chinoise
L'humoriste français se fait passer pour un politicien canadien pour rire de la Belle, candidate à l'élection présidentielle.
La présidentielle française est entrée dans une phase de rivalité intense où intervient la "question chinoise."
La destinations touristique préférée des Américains est la Chine.
Les pays étrangers sont satisfaits des prix prévus pour les billets d'entrée aux Jeux Olympiques.
Deux femmes en campagne électorale pour les élections présidentielles françaises
La sortie de Zidane a fait basculer la finale. Domenech dit qu'il comprend Zizou.
Cissé se blesse et perd tout espoir pour la coupe du monde. La France bat difficilement la Chine.
Le pape catholique de Rome, Jean-Paul II est décédé
La presse russe considère que la Chine a choisi la bonne voie.
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07.05.2007 Personnalité : Sarkozy, le "petit Napoléon"
Dépêche du Quotidien Internet chinois "Globe". Des analystes politiques français ont bien observé l'importance accordée au tout image. Les électeurs français ont besoin d'un leader qui incarne une France forte. C'est primordial. Nicolas Sarkozy, avec ses nombreuses années d'expériences en tant que ministre de l'Intérieur et ministre du budget, a renforcé son image de politicien à forte personnalité. C'est ainsi que sa côte de popularité n'a cessé d'être en tête depuis Noël de l'année dernière.

Il ne dissimule pas son ambition.

Son parcours est extrêmement complet : à 28 ans déjà, il prend en charge la mairie de Neuilly, dans la proche banlieue de Paris. A 38 ans il décroche un poste de ministre du gouvernement français. Quand il est ministre de l'Intérieur, il est appelé "numéro deux du gouvernement". Sarkozy excelle dans l'art de régler les cas épineux. Son style est ferme et décidé. Représentant la droite traditionnelle,  il préconise une économie de marché libérale pour redresser l'économie nationale et développer l'emploi. Au même moment, il défend fermement les réformes pour le bien-être social et le système du travail, il améliore la sécurité publique et il renforce le contrôle de l'immigration.

Sarkozy est robuste et déborde d'énergie. Sa technique pour combattre les criminels fait penser aux films Hollywoodiens. De nombreux Français le comparent donc à la star américaine Clint Eastwood. Sarkozy tranche sur le champ. Avec lui, sitôt dit, sitôt fait. Parfois, pour une petite affaire de sécurité publique, il appelle un bureau de police le dimanche à 7h du matin. Il se révèle tel le tranchant d'une arme et ne dissimule pas son désir de puissance. Il dit avec franchise : "Il y a une place libre, je la veux." N'ayant jamais caché son ambition pour le trône présidentiel, les média français lui ont donné le surnom de "petit Napoléon".

Dans la mémoire du peuple français, Sarkozy évoque l'un de ces rôles héroïques. En 1993 à Neuilly, un déséquilibré, en possession d'une bombe, commit une prise d'otage dans une école maternelle. Alors maire de Neuilly, Sarkozy est allé négocier avec le ravisseur avec succès. Les gens l'ont vu de leurs propres yeux sortant à grandes enjambées avec une petit enfant dans les bras. Une chaîne de télévision française rapporta que "l'on avait vécu un moment historique."

Quand il était ministre de l'Intérieur, une bande de jeunes en cagoule prit d'assaut un véhicule de police à la sortie d'une rue. Trois policiers ont du se cacher un bon moment avant de pouvoir ressortir. Furieux, il appella des grands média sur les lieux et jura devant les objectifs de punir sévèrement les voyous. Le lendemain, dans le journal le Parisien, on voyait sa carricature brandissant un pistolet, avec la légende : "Dors en paix, je suis là pour te défendre." Les média français avaient déjà publié ce genre d'éloge.

Il reçu la blâme de Chirac, pour traitrise

Le parcours politique de Sarkozy est un vrai conte. Né dans une famille d'immigrés hongrois, il choisit à 19 ans le camp des partis conservateurs. A 28 ans seulement, il devient maire de Neuilly, ville d'e résidents riches de l'ouest parisien. Il dut un certain avancement à son statut de gendre politique de Chirac. Mais peu de temps après, une profonde discorde s'installa entre les deux hommes jusqu'à aujourd'hui. Dans ce contexte, Sarkozy a continué son inexorable ascension, révélant sa vitalité extraordinaire.

Chirac fut tel un maître pour Sarkozy. C'est lui qui qui d'un geste l'a issé dans l'arène politique. Mais l'harmonie ne règne pas entre les deux hommes, et nombreux furent les conflits politiques. A l'occasion de l'élection de 1997, il lache Chirac et soutien la candidature du Premier Ministre de l'époque, Balladur. Mais il misa sur le mauvais cheval. Après son élection, Chirac le chassa comme traitre de l'équipe présidentielle.

Pendant l'élection présidentielle de 2002, Sarkozy revient dans le camp des chiraquiens. Il assume ensuite les charges de ministre de l'Intérieur et ministre du budget, sans obtenir le poste espéré de Premier Ministre. En mettant toute son énergie dans la lutte contre les délinquents, il réussit à captiver l'attention des média. Au sommet le la vie politique française, il pu alors exprimer son ambition.

Après la proclamation de son entrée en campagne, Sarkozy continua d'irriter Chirac dans son attitude politique. Il continua à proclamer la rupture avec la politique du passé, façon d'occulter les 12 années de la politique de Chirac. Pendant la campagne de désignation du candidat à la présidentielle au sein de l'UMP, Chirac n'avait d'yeux que pour de Villepin, le Premier Ministre en poste. Mais l'UMP choisit finalement celui qui avait la meilleure côte dans l'opinion, son président , Sarkozy. Il est depuis Noël dernier toujours resté premier dans les sondages d'opinion. Chirac n'eut d'autre solution que d'exprimer son soutien au candidat, comme une récitation contrainte.

Un tempérament explosif qui inquiète

Intelligence et intransigeance, le style Sarkozy gagne l'enthousiame des uns, mais déclenche une haine féroce des autres.

La politique sévère d'immigration de Sarkozy est devenue la bête noire des clandestins, et cela bien que Sarkozy lui-même ait du sang juif d'immigré hongrois. En novembre 2005, la banlieue parisienne s'enflamme à la surprise du monde entier. Le ministre de l'Intérieur de l'époque, Sarkozy, a non seulement utilisé le mot de 'racaille' pour désigner les émeutiers, mais il a en plus pris des mesures d'une 'main de fer' pour en premier lieu mener des arrestations, et ensuite instaurer le couvre-feu pendant deux semaines pour assurer le retour au calme. Les immigrés ont depuis sorti le slogan "tout sauf Sarkozy", et ont juré de tout faire pour bloquer Sarkozy hors de l'Elysée.

Ses concurrents dépeignent Sarkozy comme capricieux, irrascible, à l'humeur changeante. On dit que quand il était jeune, du fait de son patronyme hongrois et du divorce de ses parents, il eut à endurer de nombreuses souffrances. Le responsable de l'organisme de sondage d'opinion CSA révèle dans le "Parisien" que de nombreux électeurs se sont de ce fait posé la question : "Serait-il dangereux ?"

L'ancien ministre de l'égalité des chances, Azouz Begag, a récemment publié un livre de révélations explosives où il est dit que Sarkozy a menacé de lui "casser la figure". Après les émeutes des banlieues en 2005, Azouz Begag avait déjà eu des mots avec Sarkozy. Il critiquait sa façon de désigner les jeunes comme des bandes désorganisées et était très mécontent de ses propos qui sentent le souffre. Sarkozy lui aurait alors téléphoné et l'aurait insulté avec la plus grande des vulgarités : "Tu es un trou du'c.., un vrai connard. Je vais te casser la figure. Tu insultes mon nom... Azouz Sarkozy... Tu m'insultes, je vais te casser la gueule."

Le style Sarkozy et les électeurs chinois

D'après certains sondages, environ 200 000 Chinois français ont le droit de vote. Au dernier scrutin présidentiel, on comptait en gros 32 millions d'électeurs, dont environ 0,6 % d'électeurs chinois. Les quartiers chinois deviennent donc jour après jours une cible pour les candidats. Sarkozy est aussi allé à la pêche aux voix des Chinois.

Mis à part l'organisation de rencontres diverses dans le quartier chinois dans le cadre de la campagne, Sarkozy a aussi mis en ligne sur son site Internet des programmes destinés aux Chinois. D'après la présentation, le responsable de la campagne sur Internet de Sarkozy est un connaisseur de la langue chinoise. Nous avons constaté que le contenu de l'interview concernait tous les détails du programme politique de Sarkozy.../...

L'organisation pense que l'utilisation d'Internet pour des débats et dialogues impliquant la Chine correspond à un bien meilleur esprit de service pour le public que ne le propose la gauche. Par le site Internet, le peuple chinois a pu en outre connaître en temps réel le point de vue de Sarkozy sur la Chine, et suivre toute la campagne française.
(Yuan Lei)
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07.05.2007 Sarkozy obtient plus de 53 % et est élu nouveau président  français
Le 6 mai, du site Internet de l'agence Xinhua. Le deuxième tour de l'élection présidentielle française s'est tenu le 6 mai. La candidate du parti socialiste, Madame Royal, a reconnu publiquement sa défaite juste après la fin du scrutin. Le président de l'UMP Sarkozy a été facilement élu nouveau président français.

A la fin du vote, les quatre grands organismes de sondage ont exprimé les résultats du deuxième tour : plus de 53 % pour Sarkozy et moins de 47 % pour Royal.

Le président français a été élu au suffrage universel. Quand un candidat n'obtient pas la majorité absolue au premier tour, alors un deuxième tour est organisé. Les deux candidats ayant obtenu le plus de voix sont alors retenus pour ce deuxième tour.

Au premier tour Sarkozy obtenait 31,18 % et Royal 25,87 %, ce leur leur permit d'accéder au second tour.

Sarkozy est né en 1955 à Paris. Il est un représentant de la droite française. A 33 ans il devient député pour la première fois. Il prit successivement la charge de ministre du budget, ministre de l'Intérieur et ministre de l'Economie.
28.03.2007 Chirac : le président français passionné par la culture chinoise
Le soir du 11 mars, le président français, Chirac, a pris la parole à la télévision devant la France entière. Il a annoncé qu'il ne se présenterait pas à l'élection présidentielle pour briguer un nouveau mandat.
(du correspondant  pour l'agence Chine Nouvelle, Song Lidong)
L'érudition "présidentielle"

Le président français, Chirac, est un politicien très cultivé d'une grande érudition avec prélidection pour les arts asiatique, Chine comprise. Cette réputation n'est plus à refaire.

A Paris, sur la rive gauche de la Seine, se tient un bâtiment blanc immaculé, aussi somptueux et grandiose qu'un palais. C'est l'Hôtel de Ville de Paris. C'est là que Chirac, maire de paris, travaillait avant d'être élu président de la République en mai 1995.

Dans son immense bureau, ce qui attire le plus l'attention, ce sont les céramiques et les antiquités de style orental qui décorent le bureau, les tables basses et les rebords de fenêtre. Par cette exposition, nous comprenons que le propriétaire est un collectionneur amateur d'obets d'art oriental. On dit qu'en 1989, alors qu'il recevait l'hôte de marque de Singapour LI Guangyao, Chirac se lança dans un débat sur l'art chinois. Les hôtes présents au banquet n'ont pu cacher une certaine surprise face à cette érudition sur l'histoire de l'art oriental.

Chirac a pu exprimer tout l'intérêt qu'il portait à l'art asiatique, lors d'une interview réalisée par un journaliste chinois. Il dit alors que lorsqu'il était jeune, le musée Guimet était l'endroit qu'il préférait visiter. Le musée Guimet est le musée de Paris qui n'expose que des objets d'art asiatique. Le conservateur du musée le confirme : "Quand Chirac venait visiter le musée, il était passionné par les antiquités chinoises."

A Paris tout le monde connaît la fascination de Chirac pour l'histoire de l'art chinoise. J'ai moi-même entendu cette histoire : "Alors qu'il participait à une conférence internationale,  Chirac regardait seulement les dirigeants des différents pays eux-mêmes concentrés sur l'orateur. En pleine méditation, il saisit une feuille qu'il annota en un éclair et la tendit à l'assitant. Ce dernier y lut en fait une généalogie chinoise. Il ordonna que l'on verrifia sur le champ s'il n'y avait pas d'erreur. On verrifia que tout y était en réalité parfaitement correct.

Sa fréquentation des artistes chinois

Je me souviens encore d'une histoire à Paris, au sujet de Chirac et d'un peintre chinois. Alors que le peintre chinois LI Tingsheng lisait la version chinoise de la biographie de Chirac, il s'exclama à la lecture du passage : "Chirac a toujours été passionné par l'art asiatique. Le poète chinois qu'il admire le plus est Dufu, et en particulier son poème En contemplant le Mont Tai :
Comment décrirai-je le Mont Tai ?
Il domine Qi et Lu, baignant dans un océan de verdure.
La nature lui a donné une beauté sublime
Que le Yin et le Yang divisent en ombre et soleil.
Des nuages s'élèvent de ses vastes flancs,
Je suis des yeux au loin les oiseaux qui rentrent au nid.
Il me faudra grimper jusqu'à la cime
Pour embrasser du regard toutes les montagnes, si petites.
(poème traduit en français par Georgette Jaeger)
Ensuite LI Tingsheng s'inspira du poème de Dufu pour peindre En contemplant le Mont Tai. Il envoya alors quelqu'un l'offrir au président Chirac. En 1996 le peintre reçu une lettre signée de Chirac : "Monsieur, vous connaissez ma passion pour les civilisations asiatiques, et tout particulièrement pour la culture chinoise qui m'a toujours fasciné. Permettez-moi de renouveler une fois encore toute mes félicitations pour votre oeuvre, et d'exprimer toute mon admiration pour votre talent d'artiste contemporain.

En mai 1997 en visite en Chine, le président Chirac s'est rendu expressément à une réception de personnalités du monde de la culture où LI Tingsheng était convié. Ce dernier réalisant un portrait du président et de sa femme, attira l'attention des personnalités françaises. Voici l'histoire d'une belle amitié franco-chinoise entre Chirac et le peintre chinois.

A l'occasion de ce même voyage, Chirac s'est aussi rendre visite à M. MA Chengyuan, spécialiste des bronzes du musée de Shanghai. Lors de l'entrevue, MA Chengyuan lui a offert les 14 volulmes de son "encyclopédie des bronzes chinois". Tout en feuilletant, Chirac apperçu la photo d'un bronze de la dynastie Xia et demanda à MA Chengyuan : "N'est-ce pas là un bronze des trois périodes de culture erlitou ?" Et d'ajouter que cette culture datait environ de 3600 ans. Les connaissances de Chirac sur les bronzes ont fortement surpris MA Chengyuan. Deux ans plus tard, Chirac revit MA Chengyuan. Les deux heures qu'ils passèrent ensemble furent l'occasion d'évoquer les débuts de la culture Erlitou à Yanshi dans la province du Henan.

En décembre 2000 se tint à Paris l'exposition "Découvertes des antiquités chinoises". Chirac visita ce qui fut alors considéré comme la célébration des échanges culturels franco-chinois. En passant devant les soldats en terre cuite de l'empereur Qinshi, il dit à l'accompagnateur chinois : "Je suis honoré d'avoir été un des premiers étrangers à visiter ces merveilles. C'était en 1978, l'année précédant l'ouverture du musée de l'armée en terre cuite. Par la suite j'y suis retourné plusieurs fois, dont une fois avec DENG Xiaoping."

En juillet 1998, M. HAN Wei qui avait en charge la direction de l'Institut de recherche sur les antiquités de la province du Shaanxi était en visite à Paris. Chirac le reçu tout spécialement au palais présidentiel pour un tête-à-tête. Il s'enquit de l'avance des travaux de fouilles des tombes Han dans la banlieue nord de Xi'an. Il s'enquit ensuite de problèmes de haut niveau de spécialisation, tels la mise à jour du tombeau de Qinshihuang, la présence de murs d'enceinte sous le tombeau, la positions exacte dans le pays de Qin de Fengxiang et Zhiyang. HAN Wei fut tout surpris des connaissances de Chirac sur l'Histoire et la culture de la Chine. De nombreuses années plus tard, alors à la retraite, HAN Wei se souvient de cette forte impression laissée par le président : "J'admire son charme personnel. J'apprécie encore plus cette profonde compréhension de la civilisation extrême orientale de la part d'un politicien occidental."
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28.01.2007 L'humoriste français se fait passer pour un politicien canadien pour rire de la Belle, candidate à l'élection présidentielle.
L'humoriste français appelle la Belle au téléphone. Il se fait passer pour le Premier Ministre québécois et l'entraîne dans le piège de l'indépendance du Québec. Le rival de Royal à la présidentielle profite de l'occasion pour la rabaisser.
Reportage sur la conversation avec Dahan.
D'après les média anglais du 27 janvier, le 24 du mois, l'acteur comique français Gérald Dahan a appelé la  candidate socialiste Ségolène Royal en se faisant passer pour le Premier Ministre québécois. Il lui demandait alors son avis sur l'indépendance de la province du Québec. Dupée, Royal répondit que le peuple français n'y serait pas opposé." Sa révélation a fortement irrité le peuple canadien. Les opposants à Royal ont saisi l'occasion pour stigmatiser son ignorance politique et son incapacité à assumer les plus hautes responsabilités.

Le faux Premier Ministre a piégé la politicienne.

D'après la dépêche, Dahan s'est fait passé le 24 janvier pour le Premier Ministre québécois, Jean Charest, en appelant la candidate socialiste au téléphone. Le 26, Dahan disait dans une émission de télévision française : "Je ne connais absolument pas le Premier Ministre Québécois. Et de toute évidence, elle non plus." C'est donc juste avec un français chargé d'un fort accent québécois qu'il a pu rouler plus d'une dizaine de ses conseillers, avant une conversation au sommet de 11 minutes avec Royal."

D'après des révélations, sur le moment, l'humeur de Royal était excellente. Quand elle a été questionnée sur l'indépendance du Québec, elle a répondu en riant : "C’est comme si nous on disait, la Corse (une petite île française en mer Méditérranée), il faudrait qu’elle soit indépendante. Les Français ne seraient pas contre d’ailleurs." Et Royal de rajouter allègrement : "Surtout ne le répétez pas, (sinon) ça va faire des vagues en France."

Enregistrée en secret, et transmis aux chaînes de télévision.

A cause de cet "appel important", Royal s'est faite attendre lors d'un meeting organisé dans le centre de la France. Elle s'excusa alors auprès du public : "J'étais à l'instant au téléphone avec le Premier Ministre Québécois." Ce à quoi elle ne s'était pas imaginé, c'est que Dahan, tout en ayant promis de "garder le secret", avait tout enregistré en douce, pour ensuite le transmettre à la télévision. En soulevant cette question extrêmement délicate de l'indépendance du Québec, Royal a irrité le peuple canadien, ce dernier commençant à se demander si la France ne serait pas en train de "tramer secrètement l'indépendance du Québec."

Bien qu'elle soit par la suite clairement intervenue pour dire qu'elle n'a pas voulu diviser le Canada, cela a quand même provoqué une levée de boucliers dans la bataille électorale. Le député de Corse-du-Sud, Rocca Serra a exprimé son profond mécontentement. Rappelant ses grandes erreurs sur de grandes questions comme les sous-marins nucléaires, la question politique du Moyen-Orient et autres, il a montré à quel point la dimension  internationale manque à Royal.

Ses rivaux de campagne la condamnent.

Ceux qui analysent la politique considèrent que des alliers du ministre de l'Intérieur, Sarkozy, ont de toute évidence sorti cette affaire de farce Dahan pour détourner l'attention du public d'autres scandales : Sarkozy commandite des enquêtes secrètes sur la vie privée des gens, dont le frère de Royal et de ses conseillers.

 Sarkozy, comme pour précipiter la chute de Royal, dit : "Je suis surpris de la bassesse des propos de Madame Royal.  L'indépendance de la Corse n'est pas quelque chose sur laquelle on peut plaisanter, surtout lorsque l'on discute avec le Premier Ministre d'un pays étranger. Je soutiens fermement l'idée que la Corse doit rester française." Et au même moment il attaque : "Les interventions de Royal montrent qu'elle est non seulement ignorante, mais en plus incompétente."

Zidane aussi s'était fait piéger.

D'après ce que l'on rapporte, ceci n'est pas le premier "coup" de l'humoriste Gérald Dahan. En 2003 il s'en est pris au Premier Ministre de l'époque, Raffarin. Cette fois, Dahan avait pris la voix de Philippe Douste-Blazy, le ministre de la Santé. Il expliquait qu'alors qu''il se trouvait dans le bois de Boulogne de la ville de Paris, à la recherche de prostituées, il avait été pris en "flagrant déli". Le piège avait ensuite été découvert. Extrêmement gêné, le bureau Raffarin n'eut d'autre choix que de faire disparaître la bande enregistrée.

En 2005, Dahan se fait passer pour le président français, Chirac et appelle le capitaine de l'équipe de France de football, Zidane. A l'époque l'équipe de France devait affronter l'Irlande en qualifications de la coupe du monde. Le "faux Chirac" demandais alors à Zidane que les joueurs fassent un signe de croix sur la poitrine à leur entrée sur le terrain, et de chantent l'hymne national. Zidane s'est réellement exécuté, et a en plus mené l'équipe à la victoire.
(Responsable d'édition : ZHANG Yong)
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26.01.2007 La présidentielle française est entrée dans une phase de rivalité intense où intervient la "question chinoise".
Récemment, la campagne des éléctions présidentielles française est entrée dans une phase des plus électrique. La compétition est acharnée entre les deux partis principaux des deux ailes droite et gauche, l'"Union pour un Mouvement Populaire" et le Parti Socialiste. Si l'on observe subrepticement les procédés utilisés dans la bataille électorale par les deux camps, on constate que la "question chinoise" est devenue un des thèmes forts des rivalités gauche-droite.

Depuis que le parti socialiste l'a propulsée candidate à l'élection présidentielle, les sondages ont toujours donné une avance à Madame Royal devant l'adversaire de la droite. Les visites de son site Internet de campagne, ainsi que celles de son blog n'ont cessé d'augmenter. Mais les critiques des média au sujet de son ignorance des affaires internationales l'ont obligée à effectuer deux visites à l'étranger, dont une en Chine.

Elle a dit qu'une fois élue, la Chine serait un des premiers pays qu'elle visiterait. Le mot "Chine" est alors fréquement revenu dans les média. Comme par hasard, le précédent président socialiste, Mitterand, s'était aussi rendu en visite en Chine avant son avènement à la présidence de la république. Dans ce geste, les média ont donc vu là une volonté de forcer le destin pour réaliser un "rêve présidentiel".

Du côté de la droite, le président de l'UMP, Sarkozy, depuis son investiture triomphale à la candidature, le 14 du mois, toute la puissance de campagne de la droite s'est mise en mouvement. Les sondages d'opinion le donnent vainqueur sur la gauche. Si l'on regarde de près, l'organisation de la campagne et la stratégie de la droite paraissent plus ordonnées et solides. Si l'on examine la complexité et l'envergure de la campagne à droite, il n'est pas étonnant que la "question chinoise" devienne l'un des principaux thèmes de réflexion. Etant donné la position et la force sans cesse croissante des groupements de Français d'origine chinoise, le parti au pouvoir a depuis bien longtemps désigné un responsable en son sein pour être en contact et communiquer avec les Chinois. D'après ce que l'on sait, la communauté chinoise a aussi nommé un responsable pour soutenir avec la droite. Récemment, la chaîne de télévision internationale sur Internet du candidat de la droite, Sarkozy (www.sarkozy.fr), les nouvelles de Chine ont aussi fait leur apparition. Elles sont à l'attention des Chinois locaux et du peuple chinois pour la promotion de ses nouvelles idées sur la conduite des affaires chinoises.

Dernièrement, Monsieur LIN Zuqiang, personnalité des média, du staff de la campagne électorale de Sarkozy, nous a déclaré que cette façon de discuter des questions chinoises sur Internet est beaucoup plus convainquante que la "poudre aux yeux politique" de la gauche. Le peuple chinois peut en outre mieux comprendre au travers de ce site, les idées politiques de Sarkozy concernant la Chine, et mieux suivre les élections présidentielles françaises.

Les média analysent que l'effet de "star économique" qu'est la Chine attire l'attention de toute la scène  internationale. L'idée de développement d'une Chine pacifique est une des questions qui anime les élections françaises. Par ailleurs, les communautés chinoises locales et leur contribution économique sont aussi une force que le monde politique français ne peut négliger, et dont il doit même se servir.

Le Quotidien Guangming, Paris, le 25 janvier, reporter SONG Bin
(responsable d'édition ZHAO Jian)
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02.01.2007 La destination touristique préférée des Américains est la Chine
La Chine est vue comme la destinations touristique la plus en vogue et la plus rentable économiquement
D'après le journal américain Jiaobao, une série de sondages montre que la Chine est la destination touristique première des Américains en 2007.
"Une destination économiquement intéressante"
Mes amis américain Charlie et sa jeune épouse arrivent en Chine pour passer leur lune de miel. C'est depuis le Yunnan qu'ils ont envoyé une carte au journaliste : "Nous sommes fascinés par cet endroit. Nous voudrions passer une vie future ici." A présent, de plus en plus d'Américains placent la Chine dans leur recherche. Mon voisin américain se prépare cette année à réaliser leur rêve d'aller en Chine. Tout est déjà prévu sauf la saison. En effet, certains de ses amis disent que l'été est le plus beau. D'autres disent que c'est l'automne. d'autres le printemps et d'autres encore l'hiver. "Apparemment venir en Chine une fois ne suffit pas !"
Ces mots traduisent la pensée de bon nombre d'Américains. Deux agences de tourisme américaines ont fait des estimations sur le marché de tourisme que représente la Chine, considérant ce marché à la hausse. Dans un sondage réalisé par le célébre guide de voyage américain Lonely Planet, la Chine se range au premier rang des destinations touristiques les plus prisées. Un autre organisme de tourisme américain, USTOA, la Chine est aussi la destination la plus rentable du point de vue des achats. Parmis les destinations les plus en vogue, cette année la Chine, l'Inde et la Croatie se sont issées au trois premières places.
Les dix destinations favorites des Américains
Ces temps-ci, l'Asie est une destinations touristique très prisée des Américains. bien loin devant l'Europe. D'après les statistiques du Ministère du Commerce américain, au cours des neuf premiers mois de l'année 2006, le nombre de citoyens ayant pris l'avion pour l'Asie a augmenté de 7% par rapport à 2005 à la même période. Le nombre de touristes américains pour l'Europe augmentait alors de 4% dans cette période. Comme auparavant, les quatre grandes destinations des Américains restent l'Angleterre, la France, l'Italie et l'Allemagne. Le Japon vient en septième position, la Chine continentale en dixième position, Hong-Kong en douzième position. Cependant, la croissance du nombre de touristes américains pour les diverses régions d'Asie double chaque année.
D'après les statistiques chinoises, le nombre de touristes américains a augmenté de 1,56 million en 2005, ce qui représente une croissance de 10% par rapport à l'année précédente. La Chine se place alors au quatrième rang des destinations favorites des Américains. Mais ce n'est pas un chiffre si élevé, comparé au 60 millions de touristes américains qui se rendent à l'étranger chaque année. 
La hausse du RMB peut-elle jouer sur l'engouement des Américains pour la Chine ?
Le directeur du département tourisme de l'American Automobile Association (AAA) cite trois grandes raisons qui pourraient faire de la Chine la destination la plus choisie des Américains : l'augmentation du tourisme d'affaire lié  aux investissements croissants en Chine, les échanges fréquents liés à l'immigration et aussi l'intérêt des Américains pour la culture, l'Histoire et les vestiges orientaux.
Les personnalités de l'industrie du tourisme montre que de plus en plus d'Américains veulent voire de leurs propres yeux la croissance chinoise en se rendant à Pékin ou Shanghai. Le directeur de l'OSTA rapporte : "Regardez Shanghaï, ils veulent en faire une ville comme Paris. Beaucoup de gens évoquent la culture chinoise. Les Américains en raffolent.  Un responsable du très célèbre guide familial américain Frommer's, rapporte que sur leur site Internet, le nombre d'internautes venant chercher des renseignements touristiques sur la Chine sont dix fois supérieurs à ceux qui se renseignent sur les autres pays d'Asie. Il dit : "La Chine est l'endroit où les Américains se doivent d'aller jeter un coup d'oeil, car c'est justement là que croît notre plus gros concurrent."
Mais certains professionnels du tourisme se demandent jusqu'à quel point la hausse constante du RMB pourra jouer sur l'engouement des Américains pour la Chine. En effet les prix ne sont plus aussi attractifs qu'auparavant.
Global Times, Harbin
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30.11.2006 Les pays étrangers sont satisfaits des prix prévus pour les billets d'entrée aux Jeux Olympiques.
Le Comité Olympique de Pékin a annoncé publiquement le 29 quels seraient les prix des billets pour les Jeux Olympiques. Sur la totalité des billets en vente, 58% seront a un prix maximum de 100 RMB. Des billets au prix très bas de 10 RMB seront accordé aux etudiants chinois.

Le prix d'entrée le plus bas aux compétitions olympique sera de 30 RMB, et le plus haut 1000 RMB. Les billets d'entrée pour les éliminatoires iront de 30 RMB a 300 RMB. Les billets des finales iront de 60 RMB a 1000 RMB. Le prix du billet d'entrée pour la cérémonie d'ouverture ira de 200 RMB à 5000 RMB, et pour la cérémonie de clôture, de 150 RMB à 3000 RMB.

Les médias du monde entier ont manifesté le plus vif intérêt à l'annonce de ces informations. La chaine américaine CNN a estimé qu'ainsi les prix les plus bas permettront à de nombreux Chinois de voir de leurs propres yeux aux Jeux Olympiques. La chaine anglaise de sport sur Internet Sport 24 considère que les revenus des Chinois ont une limite. Les prix bas sont une mesure tout à fait raisonnable.

Le Comité Olympique International soutient le comité d'organisation des jeux de Pékin.  Les membres du Comité International se sont exprimés : "Le Comité d'Organisation des Jeux de Pékin donne une chance d'assister au Jeux à un grand nombre de Chinois, sachant que d'autres pays étrangers y trouveront le même intérêt. Le comité y est très sensible."
Global Times, Harbin
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18.10.2006 Deux femmes en campagne électorale pour les élections présidentielles françaises

Au printemps prochain, les Français vont accueillir leur nouveau président. Mais déjà se répand l'odeur de poudre du combat final, et il est fort probable que deux femmes, aux caractères  très différents ne viennent enflammer la situation. D'un côté on a la "rose francaise", celle qui déguste le vin rouge du bout des lèvres, la socialiste Ségolene Royale. De l'autre côté on a la battante, l'héroique, celle qui aime en découdre, la ministre de la défense Michèle Alliot-Marie.  Les commentateurs politiques eux-mêmes prédisent que cette grande élection sera une "saga" de personnalités.


Elle déstabilise Sarkozy.

Par ses déplacements et ses visites, la charmante et élégante Royal a exprimé publiquement son engagement dans la campagne électorale présidentielle l'année dernière en septembre. Elle lançait par cette occasion un défi au ministre de l'intérieur Sarkozy. Depuis un an, sa côte de sympathie ne cesse d'augmenter. Elle est devenue un vrai outsider, une star de l'opinion publique. Sarkozy lui-même s'était toujours imaginé que la confrontation de l'année prochaine aurait lieu entre lui, le héro, et la belle. Il s'est mépris et l'apparition de Marie (ndt: Alliot-Marie) produit un sentiment de crise.

Marie et Sarkozy appartiennent au même parti.  Bien que cette dernière n'ait pas encore officiellement exprimé sa candidature, elle avait déjà annoncé en avril de cette année son voeu de ne pas être tenue à l'écart de la campagne. Elle a renouvelé pér la suite sa volonté à de nombreuses reprises. Elle disait qu'elle ne se précipiterait pas a faire son choix, et qu'elle prenait des forces. Un semestre s'est écoulé, et elle son énergie redouble. En août dernier, la côte de popularité des personnalités en poste au gouvernement la positionnait a la quatrième place. En outre, d'après un sondage de la semaine dernière, elle obtiendrait la sympathie de 47% des électeurs. Bien que Sarkozy la devance toujours de 20 points, il a malgré tout baissé de 5 points en septembre, alors que Marie sortait ses griffes avec une hausse de 7 points. Mais ce qui entame le plus la confiance de Sarkozy, c'est qu'au même moment, son challenger féminin obtient le soutien du président de la République, Chirac, ainsi que celui du Premier Ministre, de Villepin. Récemment, de Villepin, alors qu'il faisait les éloges de Marie sur ses talents innés, a fait remarquer à l'attention de Sarkozy, et dans des propos à peine voilés, que d'autres candidatures sont tout à fait possibles au sein de l'UMP.

Petit à petit, Marie commence alors à lancer ses défis avec audace. Interviewée dans le Figaro la semaine dernière, elle dit : "Nombreux sont ceux qui m'incitent avec enthousiasme à devenir le candidat de la droite. Ils disent que je serais la seule à battre Royal. " Au sujet de Sarkozy, son rival de parti, elle dit : "Si les élections avaient lieu aujourd'hui, Sarkozy gagnerait. Mais malheureusement, les élections n'ont pas lieu aujourd'hui."

Il y a quelqu'un dont le surnom est "Superman"

A 60 ans, d'après Marie, entrer dans la course présidentielle était en réalite une chose imprévue. A 21 ans, elle étudiait avec assiduité en licence de droit avec pour idéal de devenir une spécialiste en droit. Après des années d'études acharnées, elle obtient la licence de droit, la maîtrise de sciences humaines, le doctorat en droit d'une part, et en sciences politiques d'autre part, ainsi que le titre d'avocat. En 1972, elle est nommée conseillère du ministre de l"Education Nationale de l'époque, ancien Premier Ministre, Edgard Faure. Mais celui qui l'a vraiment introduite dans le monde politique, c'est  son père, un ancien arbitre de rugby; ayant assumé la charge de maire. En 1981, son mari la convainc d'adhérer au Rassemblement Pour la République fondé par le maire de Paris de l'époque, Jacques Chirac. Ce dernier remarque immédiatement ce nouveau talent. Marie devient alors une amie politique très proche et fidèle de Chirac. En 1986 elle est élue député. A sa première entrée dans l'hémicycle, maquillée et aprêtée, elle est interceptée par les huissiers : "Excusez-moi Madame, seuls les hommes peuvent entrer aux séances de l'Assemblée."  Par la suite, elle devint maire; puis assuma les responsabilités de secretaire d'Etat et ministre de la Jeunesse et des Sports. La femme coquette des premiers temps s'est muée en une politicienne douée et experimentée. Même ses cheveux dans le vent ont laissé la place à une coupe courte à la Madame Thatcher.

En 1999, Marie atteint le sommet de la carrière politique : elle est élue présidente du Rassemblement Pour la République.  C'est la premiere femme française à accéder à des fonction politiques de parti aussi élevées. Marie plaisante souvent en disant  que Jacques Chirac lui avait confié trois bon tuyaux en campagne électorale : "serrer les mains des sympatisants", profiter des trajets pour dormir et trouver le temps d'aller aux toilettes. En campagne, elle a vaillament et inlassablement parcouru les routes françaises, décrochant par trois fois le soutient des militants.  Ses amis lui donnèrent alors le surnom de "Superman".

Une femme ministre de la Defense qui aime piloter les avions de chasse

En mai 2002, Marie a de nouveau établi un record sans précédent. A la direction de l'UMP, après avoir contribué à la réélection de Chirac, elle obtient le ministère de la Defense Nationale. Là encore, elle est la première femme française, dans l'Histoire de France, à devenir ministre de la défense. Bien que tous lui reconnaissent des aptitudes, l'opinion publique française, comme toujours, douta qu'une femme puisse diriger des hommes en ce bas monde. On se gaussa et on l'appela alors le "petit soldat des trois armées de Jacque Chirac". Mais en trois mois, toute la France était convaincue et admirative. Marie a inauguré un nouveau style de ministre de la Défense : assise elle-meme dans un avion de chasse, elle a realisé une mission de patrouille d'une heure. A l'attérissage, elle a gagné l'admiration de tous les officiers supérieur et des hommes. En juillet de cette année, elle a refait son apparition sur une base militaire aérienne. Héroique et martiale, elle s'est mise aux commandes d'un nouveau modèle d'avion de chasse.

Marie est une femme de caractère. Elle se plait à raconter aux gens que depuis l'âge de six ans, elle ne reçoit plus d'ordre de quiconque. Elle ne craint pas d'exprimer ses critiques sur les autres et elle désigne ouvertement les gens qu'elle deteste. Quand les Etats-Unis ont declenché la guerre en Irak, elle a vivement critiqué le Secrétaire américain à la Défense Rumsfeld et ses alliés en disant que les va-t'en-guerre engageant leur armée dans un conflit à l'irakienne étaient des "imbéciles". Ces propos ont plongé les Américains dans une grande perplexité. Les Français eux, ont admiré encore davantage cette ministre de la Défense pleine d'amour propre et de fierté.

A présent, 90% des Français acceptent l'idée d'une femme président de la République. Mais en ce qui concerne les élections générales c'est comme si nous n'en étions qu'au premier quart d'heure de la serie Chen'ai luoding (ndt: Dream Drops, série fleuve). Les événements peuvent radicalement évoluer. Quoi qu'il en soit, la ministre de la Défense l'emportera-t-elle sur le charisme de Sarkozy ? Comment pourra-t-elle croiser le fer avec la "Rose Francaise" ? Le public est déjà tres impatient de le savoir.


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10.07.2006 La sortie de Zidane a fait basculer la finale. Domenech dit qu'il comprend Zizou.
lL'équipe de France concède la victoire à l'Italie à l'issue de la bataille des tirs au but. Tous les rêves qu'avaient nourris les Français dans les huit dernières années ne sont plus qu'illusion.  Le carton rouge de Zidane a en outre marqué un tournant dans la finale.

A la 110è minute de jeu, Zidane a écopé d'un carton rouge pour un coup de tête sur le thorax de Materazzi. Suite à ce tournant décisif, les Italiens ont pu laisser glisser le match jusqu'aux tirs au but et y décrocher la victoire.

Après le match, l'entraîneur Domenech a exprimé toute sa compréhension envers Zidane : "Je ne cherche aucune excuse, mais je le comprends. La sortie de Zidane à changé la situation normale des dix dernières minutes du match."

"La sortie de Zidane a fait basculer le match, surtout dans le contexte du temps additionnel. Nous avions bien compris que tout ce que espéraient les Italiens c'était aller jusqu'au tirs au but. Nous sommes tous vraiment désolés que Zidane nous quitte de cette façon car j'étais convaincu qu'il aurait pu soulever la coupe du monde pour nous."

Au sujet de la conduite du match, Domenech pense que la France aurait dû remporter la coupe : "La seule chose qui nous désespère c'est d'avoir perdu la finale de la coupe du monde de cette manière. Nous n'avons pas commis de fautes, mais la récompense finale revient aux Italiens."  (LUAN Rongwei)
Le Quotidien du Peuple - Sport
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08.06.2006 Cissé se blesse et perd tout espoir pour la coupe du monde. La France bat difficilement la Chine.
Dépêche de SHU Wen et WANG Yong, Agence Chine Nouvelle du 7 juin à Saint Etienne. Le but de WANG Yun contre son camp à la 89è minute permit à l'équipe de France de battre la Chine 3 à 1 lors de son dernier match amical avant la coupe du monde.

L'équipe chinoise a résisté jusqu'à la dernière minute. A la 68è minute, le numéro 10, DENG Zhi, obtint un penalty transformé par lui-même, ramenant le score à 1 partout. A la 13è minute, la France, grâce à Zidane, obtint un penalty. Mais ce dernier glissa et envoya le ballon trop haut. Cette faute rare commise pour son dernier match en équipe nationale sur le sol français mit Zidane très mal à l'aise. La Chine, si elle n'eut pas à subit une faute contre son camp à la toute fin du match, aurait pu sortir vainqueur du match à Saint Etienne.

L'équipe de France a dominé pendant toute la rencontre. A la 30è minute, Trézéguet, grâce à une passe de Henry, inscrivit le premier but de la partie. Par la suite, la France a entièrement contrôlé la situation, et le match ne se déroula plus que dans le camp adverse. Mis à part la menace d'un puissant tir de ZHAO Xuri pendant le temps additionnel de la première période, la Chine n'eut guère d'occasions.

En deuxième mi-temps, l'équipe de Chine retrouva quelques couleurs. Après la rentré sur le terrain du buteur de ligue A, Wang Dongfangzhuo, l'équipe se créa quelques belles occasions d'attaque. Mais après la main de DENG Zhi, le moral de l'équipe fut complètement ébranlé.

Mais en deuxième mi-temps, après être entré en remplacement, WANG Yun, mit imprudemment le ballon dans sa propre cage, provoquant l'hilarité des Français jusqu'à la fin du match. Pendant le temps additionnel, la France mit à profit le stress des Chinois
pour contre-attaquer et creuser l'écart au score. et dans une magnifique et fulgurante contre-attaque. Bien que LI Leilei se trouvant hors de la surface de réparation, il renvoya un premier tir français, Henry pu ajuster son tir et mettre le ballon au fond des filets, amenant un score final de 3 à 1.

Sauf peut-être Henry, les Zidane, Viera, Thuram, Barthez et autres joueurs brillants de l'équipe de France vont disputer leur dernière coupe du monde. Zidane l'a d'ailleurs annoncé : il prendra sa retraite après l'Allemagne. Cette rencontre disputée à Saint-Etienne, petite ville du Sud-est de la France, a été suivie dans tout le pays.
C'est là qu'avaient déjà eu lieu la furie du mondial 98.

La blessure de Cissé est peut-être la plus grande perte de ce match. A la 10è minute après un choc avec DENG Zhi, il dû être évacué. Ses chances de participation à la coupe du monde sont des plus incertaines. Auparavent, la Chine avait été battue par la Suisse 4 à 1 lors d'un match amical. En allemagne, la France, la Suisse et la Corée seront dans le même groupe. D'après eux, la Chine est un adversaire dont le style est très similaire à celui de l'équipe de Corée.
Article paru dans Agence Chine Nouvelle, 8 juin 2006,
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03.04.2005
Le pape catholique de Rome, Jean-Paul II est décédé.
Dépêche de l’agence Xinhua du Vatican, le 2 avril (Ding Ying). Le pape catholique de Rome, Jean-Paul II est décédé le 2 avril à 21h37 (heure locale) de maladie à l’âge de 84 ans.

Jean-Paul II, né en Pologne en mai 1920, avait été élu pape en octobre 1978.

Au plus fort de la maladie de Jean-Paul II, la société patriotique catholique chinoise et le groupe des évêques chinois ont présenté leurs salutations. – stop

Article paru sur le site de l’agence Xinhua (Nouvelle Chine), 4 :38 :55
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08.10.2004 La presse russe considère que la Chine a choisi la bonne voie.
Bien que la Chine se soit engagée sur une voie difficile pour son développement, ses succès sont réels. Si les Chinois assument des choix bien plus difficiles que ceux des Russes, ils ne commettent pas leurs erreurs*.
* Littéralement “ils ne retombent pas dans l’ornière de leur chariot renversé”
Un article du journal  « La Russie Soviétique » du 25 septembre dernier titre : « La politique clairvoyante de la Chine » (de Vladimir Lyssenko)
Le temps a prouvé que la Chine avait fait des choix justes alors que la Russie commettait des erreurs.
Il n’y a qu’à regarder l’autre rive du fleuve Amour dans la province du Heilongjiang, parsemée de villes modernes hérissées de gratte-ciels et de centres commerciaux aux néons flamboyants. C’est un vrai spectacle de prospérité. Alors que du côte russe, les gens n’ont d’autre choix que d’allumer leurs fours puisque le chauffage n’est plus en service. Rien que dans la ville de Shanghai, la surface habitable créée chaque année dépasse celle de la vaste fédération russe. Un enseignant dans une université chinoise moyenne touche un salaire mensuel de 500 $US alors qu’en Russie, les enseignants les plus réputés n’en arrivent même pas là. De tels exemples sur les succès chinois d’une part et les échecs russes d’autre part, sont légions.
La Chine, à l’époque de l’ex-URSS faisait bien pâle figure à côté des projets historiques menés par son voisin. Les soviétiques ont su les premiers envoyer un homme dans l’espace. Ils ont su construire des villes modernes dans l’étendue inhospitalière de la Sibérie. La Russie jouit par ailleurs d’un grand prestige sur la scène internationale de la danse. Elle a enfin pu organiser avec succès les Jeux Olympiques de 1980. La Chine était loin d’accomplir ces réalisations à cette époque.
Au siècle dernier, dans les années 70, un célèbre journaliste japonais décrivait la Chine en ces termes : “La Chine est un dragon tout ratatiné qui a un appétit d’ogre, mais ses poches sont vides”. Je pense que ce genre de description appartient depuis longtemps au passé pour la Chine, alors qu’elle convient bien à la situation actuelle de la Russie. Malgré son approche idéologique différente, la Chine a su toutefois donner à son peuple de nombreuses opportunités de développement.
Les Chinois ne peuvent tolérer que d’autres pays méprisent leur patrie en brandissant l’étendard des “droits de l’homme”. Ils n’aspirent pas à adhérer aux projets expérimentaux de telle ou telle organisation internationale. Les Chinois chérissent la vie, ils se battent pour décrocher des victoires, la tête haute. Au contraire en Russie, les comportement les plus optimistes ont tous été rongés par ces soi-disant journalistes incompétents, ces idiots incapable devant le changement et tous ces pessimistes. Bien que la Chine se soit engagée sur une voie difficile pour sont développement, ses succès sont réels. Si les Chinois assument des choix bien plus difficiles que ceux des Russes, ils ne commettent pas leurs erreurs.
La voix choisie par la Russie a mis à bas les glorieux idéaux des anciens. Son aura de grande nation spatiale a considérablement terni. Le Russe moyen recule maintenant devant les frais exorbitants des vacances au bord de la mer Noire. En lieu et place on retrouve des oligarques, des hamburgers, une pseudo liberté de la presse et cette détestable presse radiophonique et cathodique. Ceux qui haïssent la Chine sont des imbéciles car nous avions aussi au départ la possibilité de faire les bons choix, ceux du développement. Nous grignotons nos propres chances, et nos espoirs de redresser la situation sont du pur domaine de l’inconnue.
Le futur de la Chine est nourri d’espoir. D’après les prévisions des spécialistes japonais, la Chine aura depassé les Etats-Unis dans 10 ans, cela ne fait pas l’ombre d’un doute. Alors que le futur de la Russie est des plus confus. L’ancien président américain, J.F. Kennedy disait en 1959 : “Nous devrions tous apprendre le russe…”  Le président russe actuel, Poutine, dit : “Ma fille apprend actuellement le chinois
Article paru dans le quotidien Cankaoxiaoxi, “Les Nouvelles”, Harbin, Heilongjiang. (environ 400 caractères chinois)
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